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Les 4 accords toltèques pour une vie plus belle

Les 4 accords toltèques.

 

Imaginez une vie sans conflit, sans culpabilité, sans honte. Une vie où vous vous aimez et  vous acceptez entièrement et où vous êtes libre d’exprimer le réel sans avoir peur d’être jugé.

 

Dans le livre à succès, « Les 4 accords toltèques », Don Miguel Ruiz, maître toltèque, nous donne des principes pour transformer nos vies en une expression d’amour inconditionnel :

 

1. Que votre parole soit impeccable
2. Quoi qu’il arrive, n’en faîtes pas une affaire personnelle
3. Ne faîtes pas de suppositions
4. Faîtes toujours de votre mieux

 

« Vous avez besoin d’une volonté très forte pour adopter les quatre accords – mais si vous pouvez commencer à vivre votre vie avec ces accords, la transformation de votre vie sera incroyable. »
Don Miguel Ruiz

 

Les 4 accords toltèques de Don Miguel Ruiz est vraiment un livre facile à lire et surtout très puissant. Intégrer à sa vie ces 4 accords vous garanti une vie heureuse et pleine de magie. Ne me croyez pas sur parole, testez-le !!!!

 

Les 4 accords toltèques en résumé :

 

Le premier accord toltèque : Que votre parole soit impeccable

Être impeccable avec notre parole.
Tout d’abord, regardons comment Don Miguel Ruiz définit le mot « impeccable ». « Impeccable » vient du latin peccatus, qui signifie « péché ». « Im » de impeccable signifie « sans », alors ce qui est impeccable signifie vraiment « sans péché ».
Les religions parlent du péché et des pécheurs, mais comprenons ce que cela signifie vraiment de pécher. Un péché est tout ce que vous faites qui va contre vous-même. Tout ce que vous ressentez ou croyez ou dites qui va à l’encontre de vous-même est un péché. Vous vous battez contre vous-même quand vous jugez ou vous blâmez pour n’importe quoi.

 

« Être sans péché » est exactement le contraire.

Être impeccable ne va pas à l’encontre de vous-même. Lorsque vous êtes impeccable, vous prenez la responsabilité de vos actes, mais vous ne jugez pas et ne vous blâmez pas.

 

Donc, lorsque nous sommes impeccables, nous n’utilisons pas notre parole contre nous-mêmes en nous livrant à un discours intérieur négatif, à la culpabilité ou à la honte. Nous n’utilisons pas non plus notre parole contre les autres pour blâmer, critiquer ou bavarder. Nous faisons ce que nous disons, honorant nos engagements et ne prenons que des engagements que nous entendons poursuivre.

 

De plus, les mots peuvent blesser. Vous avez certainement eu droit dans votre vie à des mots blessant de la part de proches ou d’amis. Rappelez-vous dans quel état cela vous a mis et ce que ça a pu provoquer chez vous. Par exemple, peut être qu’aujourd’hui, vous n’osez pas chanter devant tout le monde parce que quelqu’un un jour vous a dit que vous chantiez mal et vous y aviez cru. Ce qui a entraîné, l’arrêt de la chanson et ceci même si vous adoreriez cela. Vous êtes allé à l’encontre de vous même, de vos envies à cause d’une phrase ou d’un mot de quelqu’un qui aurait mieux fait de se taire ou de lire le livre les 4 accords toltèques.

 

Alors attention à vos paroles, en particulier avec vos enfants qui ont encore plus tendance à croire tout ce que leurs parents leurs disent. Des phrases ou des mots anodins pour vous peuvent avoir des conséquences importantes sur vos enfants. Et les mots blessant sortent beaucoup plus facilement lorsque nous sommes fatigués ou énervés. Alors prudence.

 

Voici une citation de Don Miguel Ruiz, qui vous permettra d’évaluer facilement la qualité de votre parole :

Vous pouvez évaluer le degré auquel votre parole est impeccable à l’aulne de l’amour que vous avez pour vous-même.

L’intensité de votre amour-propre et les sentiments que vous nourrissez envers vous sont directement proportionnels à la qualité et à l’intégrité de votre parole.

Lorsque celle-ci est impeccable, vous vous sentez bien ; vous êtes heureux et en paix. 

 

Le deuxième  accord toltèque : Quoi qu’il arrive, n’en faîtes pas une affaire personnelle

Pensons à cela. Imaginez interagir avec la même personne dans deux situations différentes.

 

Première situation :

La personne a passé une journée formidable – elle a passé une bonne nuit de sommeil, a gagné au loto et toutes les autres choses qui auraient pu se passer pour elle se sont super bien déroulées. Elle se sent bien. Comment pensez-vous qu’elle va nous traiter ? Probablement avec compassion et bonne humeur.

 

Deuxième situation :

Maintenant, même personne. Cette fois-ci, elle a eu une très mauvaise nuit de sommeil, a perdu son travail, a eu un accident de voiture, elle n’a pas mangé de toute la journée et  a certainement subit beaucoup d’autres choses négatives. Elle est de mauvaise humeur. Comment pensez-vous qu’elle va nous traiter maintenant ? Probablement mal et la moindre chose qui se passera avec cette personne fera surgir du négatif.
La chose importante à noter ici est que nous, nous étions exactement dans les mêmes situations et les mêmes sentiments dans les deux cas. Mais si nous nous basons sur la manière dont quelqu’un nous traite, nous pouvons nous créer des problèmes.
Don Miguel Ruiz écrit : « Quand vous prenez l’habitude de ne rien prendre personnellement, vous évitez beaucoup de bouleversements dans votre vie. Votre colère, votre jalousie et votre envie disparaîtront. Et même votre tristesse disparaîtra simplement si vous ne prenez pas les choses personnellement. »
Les insultes que vous pouvez subir, ne vous appartiennent pas. Toutes les paroles, les mots, les mauvaises choses qui viennent d’une autre personne ne vous appartiennent pas. Ces personnes vous envoient leur venin, en prenant la décision de ne pas en faire un affaire personnelle, vous immunise contre ce venin.
Pour reprendre l’exemple du premier accord toltèque, « que votre parole soit impeccable », si quelqu’un vous a dit que vous chantiez mal, cela lui appartient, c’est sa vision, sa vérité et cela n’a donc aucun intérêt pour vous et ne vous concerne pas. Nous avons chacun notre vérité et toutes sont valables. Donc si vous aimez chanter, chantez les avis et jugements des autres n’ont aucune importance.
Si nous prenons tout ce qui nous arrive de façon personnelle, c’est parce que cela renforce notre sentiment « d’importance personnelle ». L’humain a besoin de se sentir important. A travers les yeux des autres il pense qu’il voit sa valeur et quand on est inondé de compliments cela flatte notre ego, mais dans le cas contraire on se sent nul et on souffre.

 

Cet accord vous apprend donc que la seule vérité, c’est la votre. C’est ce que vous pensez de vous, qui est important et pas ce que pense les autres. C’est un travail qui peut être difficile parce que depuis notre plus tendre enfance, nous avons pris l’habitude de vivre avec le regard des autres. Si l’on a conscience que chacun a ses propres filtres pour percevoir le monde et que quoique l’on fasse les autres nous jugerons toujours, alors on comprend que prendre personnellement tout ce qui nous arrive est une grave erreur. Quand on arrive à faire de cette loi une habitude, on gagne énormément en liberté.

 

Le troisième accord toltèque : ne faîtes pas de suppositions

Don Miguel Ruiz écrit: « Nous avons tendance à faire des hypothèses sur tout. Le problème avec les suppositions est que nous croyons qu’elles sont la vérité. Nous pourrions jurer qu’ils sont réels ».
Nous faisons des suppositions sur ce que les autres font ou pensent – nous le prenons personnellement – puis nous les blâmons et réagissons en envoyant un poison émotionnel avec notre parole.
C’est pourquoi lorsque nous faisons des suppositions, nous cherchons les problèmes. Nous faisons une supposition, nous comprenons mal, nous le prenons personnellement et nous finissons par créer un grand drame pour rien.

 

En faisant des suppositions, nous interprétons des événements en leur donnant le sens que nous pensons qu’ils ont.
Ensuite, nous nous convainquons que ces interprétations sont le reflet de la réalité. Au final, nous prêtons des intentions aux autres sur la seule base de suppositions, souvent erronées auxquels nous nous sommes convaincu de croire.
La supposition la plus commune est de croire que les autres pensent de la même manière que nous. En faisant cela, nous oublions que chacun a sa propre perception du monde, que chaque personne réagit différemment face à des situations identiques. Nous croyons que tout le monde juge, pense et agit de la même façon que nous, ce qui a pour conséquences la création de scénarios illusoires, fruit de notre propre imagination.
Les personnes sur lesquelles nous faisons le plus de suppositions sont les personnes  avec qui nous sommes les plus proches. L’explication est simple, comme se sont des proches, nous partons du principe que ces personnes nous connaissent bien et qu’elles devraient deviner nos besoins. Du coup quand ces personnes ne font pas ce que nous attendions d’elles, nous nous sentons blessé parce que nous pensons qu’elles auraient du savoir.
Ça n’engage que moi, mais je pense que dans ce « jeu des suppositions », on est très doué, nous les femmes. Je ne dis pas que les hommes n’en font pas, bien sur que si, mais les femmes ont quand même une fâcheuse habitude à essayer de trouver des interprétations à tout, n’est ce pas ?

 

Quelques exemples :

Votre conjoint(e) vous envoie un sms vous disant qu’il ou elle arrivera plus tard ce soir parce qu’il ou elle a une réunion, vous supposez,  « il ou elle me trompe », « il ou elle en a marre de me voir, il ou elle préfère rester au bureau », « il ou elle va voir ses amis, c’est bidon sa réunion »….

 

Votre enfant est en colère, et vous dit que vous êtes nulle comme père ou comme mère, tout de suite vous allez en conclure que vous êtes un mauvais parent, que votre enfant ne vous aime pas…

 

Vous venez de rencontrer quelqu’un que vous trouvez très séduisant, vous allez essayer de décrypter le moindre appel, les moindres paroles, le moindre sms, le plus petit geste, en essayant de deviner ce qui se cache derrière.

 

Bref, vous voyez où je veux en venir.Le fait de supposer peut avoir de lourdes conséquences sur notre vie. Beaucoup d’histoires de familles qui ne se parlent plus sont dues à des suppositions.

 

Et pourtant, la solution est très simple, au lieu de se faire des films, posez carrément la question. Cela demande du courage surtout dans certaines situations mais c’est quand même mieux que de se pourrir la vie en supposant que et en nous mettant le doute qui lui a tendance à nous ronger.

 

Comme le dit Don Miguel Ruiz : « La manière de ne pas faire d’hypothèses est de poser des questions. Assurez-vous que la communication est claire. Si vous ne comprenez pas, demandez. Ayez le courage de poser des questions jusqu’à ce que tout soit aussi clair que possible pour vous. »

 

Le quatrième accord toltèque : faites toujours de votre mieux

Un conseil très sage de Don Miguel Ruiz : « En toute circonstance, faites toujours de votre mieux, ni plus ni moins. Mais gardez à l’esprit que votre meilleur ne sera jamais pareil d’un moment à l’autre. Tout est vivant et change tout le temps, de sorte que votre meilleur sera parfois de grande qualité, et d’autres fois ce ne sera pas aussi bon. »

 

Nous devons toujours faire de notre mieux si nous voulons faire vivre les trois autres accords. Et, bien sûr, parfois, nous serons totalement satisfaits et notre meilleur sera incroyable, et d’autres fois, nous serons peut-être un peu fatigués et notre meilleur ne sera pas aussi brillant. Don Miguel Ruiz explique que tant que c’est notre meilleur à ce moment-là, tout va bien.

 

Faire de son mieux, qu’est ce que cela veut dire ? C’est faire que chaque tâche que vous réalisez, vous la réalisiez en donnant le meilleur de vous-même. C’est être concentré sur cette unique tâche, sur le présent, être totalement absorbé par ce que vous faîtes et le faire bien. Et peu importe dans l’état où vous êtes, que vous soyez au top ou non, le tout c’est de faire de son mieux à ce moment précis, au moment présent.

 

Mais attention, faire de son mieux ne veut pas dire en faire trop non plus, car là vous vous épuiseriez et perdrez certainement du temps à finaliser votre ou vos objectifs.

 

Soyez indulgent avec vous-même. Si vous n’êtes pas au top aujourd’hui, ce n’est pas grave tant que vous faîtes de votre mieux.

 

Conclusion

Si vous voulez du changement dans votre vie, intégrez ces accords dans votre quotidien, je vous garantie des résultats magiques.

 

Je sais que ça peut paraître difficile et ça l’ait. Mais en persévérant on y arrive. Au fur et à mesure du temps, nos vieux schémas disparaissent pour laisser place à ces nouvelles habitudes. Une des solution est la répétition.

 

La règle de répétition :

« Tous ces anciens accords qui régissent notre rêve de vie résultent de leur répétition », écrit Don Miguel Ruiz. Par conséquent, pour adopter les quatre accords, vous devez mettre en œuvre la répétition.  La répétition fait le maître. »

 

Répétition, répétition, répétition. C’est la matière de la maîtrise. Rappelons-nous de pratiquer ces nouveaux accords encore et encore et de regarder de mieux en mieux.

 

« Ne vous attendez pas à vous exprimer toujours avec une parole impeccable. Vos habitudes sont trop fortes et trop bien ancrées dans votre esprit. Mais vous pouvez faire de votre mieux. […] En faisant de votre mieux, l’habitude de mal utiliser votre parole, celle de faire une affaire personnelle de tout ce qui vous arrive et celle de faire des suppositions vont s’affaiblir et se manifester de moins en moins souvent.
Vous n’avez pas à vous juger, à vous sentir coupable ou à vous punir, si vous n’arrivez pas à respecter ces quatre accords toltèques. Si vous faites de votre mieux, vous vous sentirez bien même en faisant encore des suppositions, même s’il vous arrive encore de réagir de façon personnelle, même si votre parole n’est pas tout le temps impeccable. »
Don Miguel Ruiz

 

Et n’oubliez pas, le plaisir à son importance. Faire les choses avec joie sans rien attendre en retour vous garantie d’apprécier chaque moment de votre vie.
Il existe un cinquième accord toltèque : « Soyez sceptique, mais apprenez à écouter ».

 

A propose de Don Miguel Ruiz

Don Miguel Ruiz, est né dans une famille de guérisseurs. Il a été élevé dans une région rurale du Mexique par une mère curandera (guérisseuse) et un grand-père nagual (chaman). La famille a prévu que Don Miguel embrasserait son héritage séculaire de guérison et d’enseignement et, en tant que nagual, poursuivrait les connaissances ésotériques toltèques. Au lieu de cela, distrait par la vie moderne, Don Miguel a choisi de fréquenter la faculté de médecine et plus tard d’enseigner et de pratiquer en tant que chirurgien. Don Miguel a commencé à enseigner aux États-Unis avec sa mère, Sarita, en 1987. Il a fini par distiller la sagesse qui est devenue « Les 4 accords toltèques ».

 

Je vous souhaite tout le bonheur du monde

 

Pour aller plus loin (liens d’affiliation) :

                                                  

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Valérie Bonheur

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